L’ETANG DU PONT

Un décret européen impose maintenant de libérer les obstacles sur les cours d’eau , de façon à faciliter la libre circulation de la faune aquatique. Les vannes de l’étang du pont ayant été ouvertes, il se vide, ce qui n’est pas sans effets collatéraux.

La communauté de communes de la côte des légedes (CLCL )  a été chargée de mettre en oeuvre cette directive. Elle a organisé plusieurs commissions de pilotage (COPIL) afin de recueillir l’avis de nombreux experts sur cette question.

Après quelques consultations elle a opté puis voté en fin septembre 2021, la première des 4 propositions proposées par le cabinet d’étude SINBIO.

(A lire dans l’onglet Aménagement de l’étang du Pont )

 

LES ANATIFES

Les anatifes

Ces curieux crustacés se retrouvent souvent sur nos plages, rejetés par les vagues, et accrochés à des objets les plus divers.

Leur survie ne tient qu’à la présence d’un objet flottant. Sinon, c’est la mort.

Une seule espèce, Dosima fascicularis, est autonome, produisant elle-même son flotteur.

 

Ce curieux crustacé est composé de deux parties :
Une partie dure : Le capitulum :
– Ce sont des plaques calcaires blanches soudées entre elles (5 au maximum). qui protègent la tête.
– Une partie charnue : Le  pédoncule pouvant atteindre jusqu’à 90 cm. Il est fixé à l’objet flottant qui lui sert de support.

Dans l’eau, le capitulum s’entrouvre :  ce qui permet à une paire de soies noires appelées cirres de se déployer en éventail dans le courant marin. Elles capturent ainsi efficacement le plancton en suspension. C’est ainsi que l’animal se nourrit. Les cirres sont rétractables. L’eau qui pénètre dans le capitulum baigne aussi ses branchies ce qui lui permet d’être oxygéné.

Les anatifes peuvent se reproduire quand ils atteignent une taille minimale d’environ 2,5cm de long.

LA FUMETERRE

Nettoyage de printemps.

voici une très bonne plante, pour drainer le foie, et la vésicule biliaire, au moment du printemps, et ainsi éliminer déchets de l’hiver, toxines et résidus de médicaments, si vous en avez pris.

On en trouve souvent à profusion, dès le mois de mai, dans les jardins, sur les talus, mélangées aux autres herbes sauvages.

Il est possible de s’en procurer en herboristerie, simple ou en mélange avec les classiques autres draineurs: Pissenlit, artichaut, reine des près, romarin…

Tisane: 2 à 3 gr par tasse,. Laisser infuser dans de l’eau bouillante pendant dix minutes. La cure doit durer une dizaine de jours.

Comme pour toute pharmacopée, il faut noter si notre organisme accepte bien la plante. L’effet de drainage se fait -il bien sentir? Sens -t on que la plante nous fait vraiment du bien?