La chapelle Saint Gwenal fête ses 500 ans

A l’occasion des journées européennes du patrimoine, E&P. Kerlouan organise avec le soutien de Tourisme Côte des Légendes, une grande journée d’animation.

Au programme:
Histoire de la chapelle

Musique avec John Molineux et son dulcimer

Chants avec J. Pierre Prémel de Paotred Pagan.

Histoires et contes avec Sylvie Gougay

Parallèlement les Amis des Sentiers de Kerlouan organisent 3 randonnées autour de la chapelle.

Renseignements : https://www.randokerlouan.fr/randokerlouan/

500 ans?

Extraits du bulletin n° 11 de Environnement et Patrimoine Kerlouan :

En 1986, elle était encore à l’abandon, n’ayant plus de toit, le dessus de la porte et son clocheton avaient disparu ainsi que le sommet du pignon percé d’un vitrail. Et puis une végétation dense poussait librement à l’intérieur qui servait depuis longtemps de dépotoir.

La famille Cavarec se trouve propriétaire de ces ruines : elle habite tout près dans une maison construite dans les débuts de ce siècle sur l’emplacement d’un petit manoir dont on a trouvé une pierre portant gravée l’inscription suivante « A.B.A.S.Q. – 1521 » : peut-être est-ce aussi l’époque où fut construite la chapelle voisine. Celle-ci fut, parait-il très fréquentée au temps où elle faisait partie d’un vaste domaine, au XVème ou XVIème siècle qui regroupait les quartiers actuels de Lestonquet, Kerzenval, et Lézérider. Certains prétendant même que ce domaine comprenait également la Seigneurie de Lescounoc en Plounéour-Trez.

Une pardon avait alors lieu, chaque année, le jour du Mardi-Gras, ce qui n’était pas un hasard car Guénal passait pour être le Saint Patron des bouchers, et ce jour-là, tous les habitants des quartiers voisins, et même au-delà venaient à la chapelle, apportant en offrande, chacun un morceau de lard qui était vendu aux enchères, car le lard était en ces temps-là, la viande principale des paysans. Tout cela donnait lieu à une fête très appréciée.

La chapelle primitive était plus importante que ne le laissent voir les murs actuels et comme l’indique le cadastre du XIXème siècle.

la chapelle côté Est

Saint Gwenal une chapelle réhabilitée

Les ruines de la Chapelle Saint-Guénal dans le quartier de Lestonquet-Minioc, à Kerlouan, sont l’exemple type de ce qui peut être fait pour garder au patrimoine commun un de ces éléments dont on ne sait plus trop que faire.

La ruine a sa noblesse. Elle témoigne avec éloquence de ce que les choses humaines sont passagères et périssables.

La ruine n’est pas faite pour qu’on lui restitue l’existence dans l’état où le monument se présentait dans la verdeur de sa jeunesse.

Une ruine est une ruine, ceci a aussi son importance. Mais le moins que l’on puisse faire est de lui garder ou de lui rendre sa dignité.

Elément du passage elle doit être maintenue.

Débroussaillage, consolidation des murs, propreté des abords, cela est déjà beaucoup. C’est ce qu’a obtenu la persévérance de Monsieur Jean BALEY, de Kéremma, au cours de l’an passé.

On sait que la pierre d’autel a été réutilisée pour l’usage liturgique dans l’église de Lilia, où elle avait été transportée il y a plusieurs dizaines d’années, et c’était bien ainsi.

L’important, désormais, est qu’un nettoyage annuel correctement effectué, garde Saint Guénal en l’état, dans le quartier de Lestonquet.

La simple arche de pierre de sa fenêtre du XVIe siècle sera toujours bien en place dans le pignon pour lequel elle a été taillée.

Et certes mieux sur le site, comme un témoin archéologique stable au milieu de nos mouvances, que réutilisée dans une construction nouvelle, où elle risque de devenir un élément anachronique, devenu muet pour toujours.

A Lestonquet, Saint-Guénal nous parle encore et peut être attire toujours la protection de Saint Guénaël sur l’horizon proche de la mer.

Yves -Pascal CASTEL.

21/02/1987. Articles du Progrès de Cornouaille et du Courrier du Léon

Qui était Saint Gwenal?

Mais qui donc est ce Saint Guénal qui a donné son nom à la chapelle ?

Il est connu et honoré ailleurs qu’à Kerlouan, et souvent sous d’autres noms :

Ainsi à l’église de Bolazec sous le nom de Guenael ou Gwenael

En Caudan (Morbihan), de Locunel

À Elliant, de Guenal

À Ergué-Gaberic de Guinal

À Landivisiau, de Guenal ou Venal : un acte de 1497 mentionne cette chapelle

En Loperhet de Kenal

À Mauron (Morbihan) de Guinel

En Plomeur (Morbihan) de Guenal

A Plouenan de Guenal

À Plougonvenlin de Guenal

À Plougonvelin de Guenal

À Poullaouen de Guenal ou Vinnel

À Saint Pol de Léon de Venal

À Quimper (Moulin Vert) de Guenal, etc..

Son véritable nom serait « Gwenael » qui vient étymologiquement des formes anciennes de Vuinhael, Gunehael, Guniheal, nom composé de « Gwen » (Blanc-heureux), et de « Hael »  (Généreux).

Son père serait un certain Romel (ou Romulus) à qui on prête une souche nombreuse de saints, et entre autres descendants, Saint Cado, son petit-fils par sa fille aînée qui avait épousé Gundle.

La légende fait naître Guenal  au début du VIème siècle à Quimper; et voici comment, dans son livre «  Bretagne des Saints », Florian Le Roy raconte la première rencontre du jeune Guenal et de Saint Guenole, le créateur de l’abbaye de Landévennec : « Guenole venait de séjourner à la cour du roi Gradlon, quand dans une rue de Quimper il est surpris de voir un jeune garçon abandonner ses compagnons de jeu pour s’agenouiller devant lui. Guenole après un silence le regarde au visage : « Mon fils, voulez-vous venir dans notre monastère servir Dieu ? »

« C’est tout mon souhait. Je veux passer ma vie au service de Dieu, sous votre règle et discipline ».

L’enfant essayait déjà de se mettre au pas de l’abbé, mais celui-ci satisfait de l’épreuve, lui tapote la joue : « Bon…Bon…retournez maintenant chez vos parents, car le chemin est long d’ici au monastère pour vos petites jambes ».

Le gamin ne l’entendait pas de cette oreille. Il s’obstina, trottina jusqu’à Landevennec d’où, du contentement de son père il ne sortit plus.

Il s’appelait Guenael, fils du Comte Romulus, un des gentilshommes de la Cour.

La mort de Saint Guénolé avait été digne de la fresque, si las, si vieux, il souhaitait lui-même que son âme se détachât de son corps. Une nuit qu’il méditait à l’église sur la Passion du Seigneur, le vaisseau s’éclaira comme en plein midi, et un ange vint avertir l’abbé que Dieu l’appellerait à lui le lendemain. À l’aube il rassemble, ravi, tous les religieux pour leur donner ses suprêmes recommandations et désigner son successeur, son disciple le plus cher, son imitateur, Guenael, dont après avoir célébré pontificalement la messe et communié ses frères, il tint à recevoir l’extrême-onction avant  d’expirer sur les degrés mêmes de l’autel, dans une vision des cohortes angéliques ».

La légende dit que, comme beaucoup de moines de cette époque, Guenal préféra se retirer dans la solitude après avoir été un certain temps l’Abbé Directeur de l’Abbaye de Landévennec, et il s’établit à l’île de Groix où il devait décéder vers 585-590.

Lorsque les Normands envahirent tout l’ouest de la Gaule, en 919-920, d’après les Annales de l’Abbaye de Redon : « Les Bretons étant les uns et les autres soit tués, soit chassés, alors des corps Saints qui étaient en Bretagne, furent emportés dans différentes régions ».

Et dans leur livre : « La Bretagne des Saints et des Rois du V° au X°siècle », André Cheville et Hubert Guillotel précisent : «  c’est dans ce contexte de violences, de luttes, que s’est déroulé l’exode de l’élite bretonne. L’ensemble du royaume fut alors saisi par un courant de panique générale. Ce fut d’un monastère qui devait être situé en Vannetais que provenaient les reliques de Saint Guenaud ou Guenal, qui furent abritées au début du X° siècle par Thion, le Vicomte de Paris, dans son domaine de Courcouronne, près de Corbeil, puis portées dans cette ville ».

Nul ne sait ce que sont devenues les reliques de Saint Guénal ….

Le sentiment d’affection pour ce Saint était resté encore vif au début du XX° siècle, malgré l’état de délabrement de sa chapelle, et un habitant du quartier se souvient parfaitement qu’étant enfant, il venait, suivant la coutume, allumer une bougie dans la chapelle, pour favoriser une heureuse délivrance chaque fois qu’une truie allait mettre bas : Est-ce parce que le mot de « Genel », voisin de « Kenal », signifie « naître », c’est-à-dire, venir au monde ?

Ce lieu, comme tous les lieux considérés comme sacrés, favorisait toute manifestation bizarre à être considérée comme miraculeuse, et c’est ainsi que dans les années 1940, on découvrit un jour dans la chapelle une feuille de liseron sur laquelle un ver en cheminant, avait laissé des traces très visibles dessinant comme une Jeanne d’Arc sur son cheval. Le feuille fut conservée pieusement, et pendant longtemps on vint, parfois même de très loin, contempler ce phénomène. Mais à la longue la feuille avec ses effets miraculeux s’est desséchée et a fini de perdre tout son intérêt.

D’autre part, chaque Saint ayant des dons, on prête à Saint Guénal d’avoir séjourné le long de la côte de Kerlouan où vivait un dragon, et le Saint l’en avait chassé un jour après lui avoir imposé les mains en murmurant : « Kerz ac’ha leac’h zé ta anneval » que l’on peut traduire en français par « va-t-en de ce lieu, toi animal ». D’où serait dérivé le nom du quartier de Kerzenval (anneval = Kerzenvel)…

Extrait du bulletin n°11 Environnement et Patrimoine Kerlouan

Des légendes…

Ce lieu, comme tous les lieux considérés comme sacrés, favorisait toute manifestation bizarre à être considérée comme miraculeuse, et c’est ainsi que dans les années 1940, on découvrit un jour dans la chapelle une feuille de liseron sur laquelle un ver en cheminant, avait laissé des traces très visibles dessinant comme une Jeanne d’Arc sur son cheval. Le feuille fut conservée pieusement, et pendant longtemps on vint, parfois même de très loin, contempler ce phénomène. Mais à la longue la feuille avec ses effets miraculeux s’est desséchée et a fini de perdre tout son intérêt.

D’autre part, chaque Saint ayant des dons, on prête à Saint Guénal d’avoir séjourné le long de la côte de Kerlouan où vivait un dragon, et le Saint l’en avait chassé un jour après lui avoir imposé les mains en murmurant : « Kerz ac’ha leac’h zé ta anneval » que l’on peut traduire en français par « va-t-en de ce lieu, toi animal ». D’où serait dérivé le nom du quartier de Kerzenval (anneval = Kerzenvel)…

Chapelle de saint Sauveur

    Financement de la réfection de la porte

Chapelle saint Egarec

Financement de la réfection de la porte principale

Les naufrages

Le naufrage de l'Indian

 « le 10 décembre 1817, à 4 h du matin, l’Indian, un trois mâts anglais d’environ 500 tonneaux, ayant à son bord 193 personnes, est jeté par la tempête sur les écueils du littoral de Kerlouan ».

 

 

« En 1992, un plongeur de Kerlouan, Yves Loiselet, déclare aux affaires maritimes une épave située sur les roches de Karrec Hir. » Une caronade gravée portant la date de 1804, des boutons d’uniformes et une pièce de bois ensablée longue de 25 m… Il y avait de quoi éveiller la curiosité.

Le travail historique qui démarre sur ces bases révélera que le navire anglais transportait des volontaires anglais et irlandais.

Une enquête historique et scientifique

Il faisait partie d’une expédition de six navires chargée de prêter main-forte aux révolutionnaires vénézuéliens en lutte contre le gouvernement espagnol. « Grâce aux recherches de Claude Gestin puis de René Ogor, l’épave naufragée a pu retrouver son nom et son histoire. »

Le 10 janvier 1817, à 4h du matin, l’Indian, un trois-mâts anglais d’environ 500 tonneaux, ayant à son bord 193 personnes, est jeté par la tempête sur les écueils du littoral de Kerlouan. Le navire est totalement brisé et broyé. Au petit matin, les riverains découvrent l’ampleur du désastre. La plage de Karreg-Hir est couverte de cadavres. Au fil des jours, 143 corps seront retrouvés. Des ballots de marchandises, des caisses d’uniformes, des pièces de gréement jonchent l’estran.

 

La tempête de décembre 1817 et le naufrage de l’ Indian

Jacques Boucher de Perthes indique que dans la nuit du 9 au 10 décembre 1817 six bateaux auraient été victimes de éléments déchaînés entre Roscoff et l’Aber-Wrac’h et que plus de 450 marins et passagers seraient morts dont 193 à bord de l’ Indian, un transport de troupes anglais, qui se serait échoué à hauteur de Plouguerneau. Ce témoignage de Jacques Boucher de Perthes était toutefois contesté, aucun autre témoignage des faits qu’il relate n’existant et aucune autre trace historique de l’existence de l’ Indian n’ayant été trouvée29. Toutefois, en 1992, un plongeur de Kerlouan a trouvé quelques vestiges de l’épave près des rochers de Karrek Hir en Kerlouan permettant d’identifier ce navire, un trois-mâts anglais de 500 tonneaux qui partait prêter main-forte aux révolutionnaires vénézuéliens en lutte contre le gouvernement espagnol30.

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La cloche de l’Indian

Signalétique des croix et calvaires – Kerlouan

Balisage des croix de Kerlouan

Le contexte : Environnement et Patrimoine Kerlouan a mené un travail de recensement des croix et calvaires à Kerlouan, qui a abouti à la publication d’un ouvrage détaillé.

Il s’agit maintenant, par des supports adaptés, de permettre au passant curieux de les identifier, en découvrant leur nom et leur datation supposée.

Environnement et Patrimoine Kerlouan s’investit  avec l’association des Amis des Sentiers de Randonnée, dans cette action devant se concrétiser au cours de cette année.

L’ETANG DU PONT

Un décret européen impose maintenant de libérer les obstacles sur les cours d’eau , de façon à faciliter la libre circulation de la faune aquatique. Les vannes de l’étang du pont ayant été ouvertes, il se vide, ce qui n’est pas sans effets collatéraux.

La communauté de communes de la côte des légedes (CLCL )  a été chargée de mettre en oeuvre cette directive. Elle a organisé plusieurs commissions de pilotage (COPIL) afin de recueillir l’avis de nombreux experts sur cette question.

Après quelques consultations elle a opté puis voté en fin septembre 2021, la première des 4 propositions proposées par le cabinet d’étude SINBIO.

(A lire dans l’onglet Aménagement de l’étang du Pont )

 

LES ANATIFES

Les anatifes

Ces curieux crustacés se retrouvent souvent sur nos plages, rejetés par les vagues, et accrochés à des objets les plus divers.

Leur survie ne tient qu’à la présence d’un objet flottant. Sinon, c’est la mort.

Une seule espèce, Dosima fascicularis, est autonome, produisant elle-même son flotteur.

 

Ce curieux crustacé est composé de deux parties :
Une partie dure : Le capitulum :
– Ce sont des plaques calcaires blanches soudées entre elles (5 au maximum). qui protègent la tête.
– Une partie charnue : Le  pédoncule pouvant atteindre jusqu’à 90 cm. Il est fixé à l’objet flottant qui lui sert de support.

Dans l’eau, le capitulum s’entrouvre :  ce qui permet à une paire de soies noires appelées cirres de se déployer en éventail dans le courant marin. Elles capturent ainsi efficacement le plancton en suspension. C’est ainsi que l’animal se nourrit. Les cirres sont rétractables. L’eau qui pénètre dans le capitulum baigne aussi ses branchies ce qui lui permet d’être oxygéné.

Les anatifes peuvent se reproduire quand ils atteignent une taille minimale d’environ 2,5cm de long.

LA FUMETERRE

Nettoyage de printemps.

voici une très bonne plante, pour drainer le foie, et la vésicule biliaire, au moment du printemps, et ainsi éliminer déchets de l’hiver, toxines et résidus de médicaments, si vous en avez pris.

On en trouve souvent à profusion, dès le mois de mai, dans les jardins, sur les talus, mélangées aux autres herbes sauvages.

Il est possible de s’en procurer en herboristerie, simple ou en mélange avec les classiques autres draineurs: Pissenlit, artichaut, reine des près, romarin…

Tisane: 2 à 3 gr par tasse,. Laisser infuser dans de l’eau bouillante pendant dix minutes. La cure doit durer une dizaine de jours.

Comme pour toute pharmacopée, il faut noter si notre organisme accepte bien la plante. L’effet de drainage se fait -il bien sentir? Sens -t on que la plante nous fait vraiment du bien?

LE BEBE PHOQUE

 Il  est parfois possible de rencontrer  lors de ces jours courts de l’hiver, de jeunes phoques venus récupérer des forces sur la grève. Mais leur mode de vie,  n’a rien d’une sinécure.

Pour les phoques gris, (halichoerus grypus), les naissances ont lieu en octobre ou en novembre. Une femelle donne naissance à un seul  petit : Il mesure un mètre et pèse  déjà 15 Kg. Après 3 semaines  de tétée, il pèsera 40 Kg.  Leur fourrure est toute blanche à la naissance, d’où leur nom de blanchons, mais elle est perméable, ce qui l’empêche, à ce stade,  de rester durablement dans l’eau.

Mais, le sevrage est brutal. Le petit devra chercher tout seul, d’un jour à l’autre, sa propre nourriture. La mortalité est sévère, dépassant  50% la première année.

Ils meurent de faim en raison de leur fragilité, ou des mauvaises conditions météorologiques, des  tempêtes qui épuisent leurs forces, et leurs réserves.

C’est ainsi qu’en janvier, février, il est possible de rencontrer à Kerlouan, ces jeunes, qui restent là, échoués sur  l’estran, en attendant de reprendre des forces pour aller de nouveau reprendre le large pour se nourrir.

Dans les cas où l’animal est blessé ou très affaibli,et seulement dans ces cas,  il faut  contacter Océanopolis au 02 98 34 40 51 (7/7 24h/24). Océanopolis est le coordinateur régional du Réseau National Echouage.

Références :

–          Guide des mammifères marins, Hadoram Shirihai et Brett Jarrette, Delachaux et Niestlé, Ed.2007

–          Les mammifères marins de Bretagne,V. Ridoux, C. Liret, P. Creton, S. Hassani, Laboratoire d’étude des mammifères marins – Océanopolis Brest et Région Bretagne, coll. Les cahiers naturalistes de Bretagne, 2000

–          www.parc-marin-iroise.fr/Media/Parcs/Iroise/Fichiers/…P…/Phoque-gris-qui-es-tu

–          www.oceanopolis.com/…Oceanopolis…/Que-faire-si-vous-trouvez-un-animal-echoue-